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LES NOUVELLES TACHES D'ENCRE N° 1 [1962]

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Prix : 0,50 NF                                                               15 Octobre 1962

Journal Bimensuel                                                                    N° 1

LES

NOUVELLES

TACHES D'ENCRE

R. CAMUS - Y. DOUSSET

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PREMIER CONTACT

          1862-1962... Il y a cent ans naissait Maurice BARRES. C'est pour participer si humblement que ce soit, à cet anniversaire, que nous avons emprunté à l'auteur de "Colette Baudoche", le titre du présent jour­nal : BARRES, jeune Lorrain fraîchement débarqué dans la Capitale, fonda en 1884 "Les Taches d'Encre", éphémère revue qui cessa de paraître au quatrième numéro parce que "La Rédaction avait la grippe"...

          La rédaction des "Nouvelles Taches d'Encre", quoique moins bril­lante, est beaucoup plus large que celle des premières "Taches d'Encre" ; encore ne l'est-elle pas assez. Grâce à l'aimable bienveillance des au­torités de l'Ecole, nous avons pu faire paraître ce premier numéro, et espérons qu’il sera suivi de plusieurs autres. Mais cela ne peut être que si de nombreux élèves de MASSILLON veulent bien nous faire l'honneur d'y collaborer : nous nous ferons un plaisir de publier les manuscrits de toutes espèces (Nouvelles, Essais, Informations, Chroniques), déposés chez l’Abbé PERRIER, une semaine au moins avant la parution du nouveau numéro. Les suggestions sont-également attendues avec impatience. Pre­nez vite la plume, et faites-nous parvenir vos chefs-d’œuvre.

            Les petites annonces soit acceptées, moyennant un tarif de 1 NF.

          Ce journal est celui de tous les élèves. Jusque-là, les dépen­ses occasionnées par la publication, ont été supportées par quatre bien­faiteurs seulement. Toute aide nouvelle sera donc la bienvenue. Le prix de l’exemplaire étant calculé au plus juste, nous osons espérer, que nos lecteurs n'auront pas à se cotiser à quatre ou cinq pour s'en procurer un, Nous prions donc chacun d'acheter son propre numéro, sans quoi les "Nouvelles Taches d'Encre", ne pourraient subsister.

        Ce premier exemplaire contient divers articles. Ils ne sont malheureusement le fait que de trois collaborateurs, il se peut donc qu'ils ne vous enthousiasment pas. N'en refusez pas pour cela le prochain numé­ro : nous espérons de nombreux nouveaux manuscrits d'élèves.

R.C Y.D

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LE GENERAL DE GAULLE A CLERMONT

         Lorsque nous mettrons sous presse, se dérouleront les festivités de la visite présidentielle à Clermont-Ferrand. Nous ne pouvons donc en rendre compte ici. Gageons cependant que le Général sera vivement applau­di, en particulier par les écoliers, qui lui doivent une demi-journée.

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"LEURS FIGURES" : Maurice BARRES, UN MAITRE ET UN AMI (1862-1923)

OEUVRES DE MAURICE BARRES :

I -- Le Culte du Moi :

     SOUS L'OEIL DES BARBARES  (1888)

     UN HOMME LIBRE                    (1889)

     LE JARDIN DE BERENICE        (1891)

II - Le Roman de l'Energie Nationale :

     LES DERACINES                        (1897)

     L'APPEL AU SOLDAT               (1900)

     LEURS FIGURES                       (1902)

III - Les Bastions de l'Est :

     AU SERVICE DE L'Allemagne (1905)

     COLETTE BAÙDOCHE          (1909)

     LE GENIE DU RHIN                (1921)

Et, indépendants :

     DU SANG, DE LA VOLUTE ET DE LA MORT (1894)

     AMORI ET DOLORI SACRUM                          (1903)

     LA COLLINE INSPIREE                                      (1913)

    UN JARDIN SUR L'ORONTE                             (1923)

                 Ce rappel des œuvres de BARRES était presque indispensable : ses livres ne sont plus lus par la jeune génération - exceptée peut-être "La Colline Inspirée" -, c'est presque un ignoré. Le volume numéro 25 de la collection "Les Ecrivains par eux-mêmes", consacré à BARRES, com­mence ainsi : "Pour un peu, il faudrait demander pardon à la compagnie. Aux yeux des intelligents, BARRES n'est qu'une vieille statue faite au goût de 1900". L'auteur de cet intéressant ouvrage, illustré d'une abondante iconographie, a raison :     celui qui fut le Dieu de nos grands-pères, si on en parle beaucoup, parait démodé. Quelle est la cause de cette mé­sentente, à qui est la faute ? BARRES mérite-t-il d'être rangé parmi les vieilles choses, ou sommes-nous incapables de le comprendre ? Je penche­rais plutôt vers la seconde hypothèse.

               L'époque n'est guère, bien sûr, à un nationalisme exacerbé, et ce qu'on appelait jadis "défaitisme" est taxé aujourd'hui de l'appella­tion - combien plus seyante ! - de "pacifisme". Voilà pour expliquer qu'il y ait peu de rééditions populaires de "L'appel au Soldat". Mais pourquoi les philosophes et rhétoriciens de 1962 semblent-ils ignorer la trilogie du "Culte de Moi" ? Deviendraient-ils, à force de se nourrir de SARTRE ou de CAMUS, étrangers à l'esprit ? Auraient-ils trop de lour­deur pour saisir la complexité, le goût du paradoxe, de BARRES ?

         "Les Barresiens" débutants, à moins qu'ils ne veuillent observer l'ordre chronologique des œuvres et constater l'élargissement classique de l'égocentrisme, vers le souci de bonheur commun, pourront commencer par "Colette Baudoche" ; histoire simple et émouvante d'une jeune fille de Metz et d’un jeune Allemand qui s'ouvre à la culture française. Les Philosophes choisiront "Un homme Libre" ; les amateurs de mysticisme et d'envoûtement "La Colline Inspirée".

               Maurice BARRES, Grand homme politique du Nationalisme, autant que Grand écrivain, né à Channes, près de Nancy en 1862, (d'origine Au­vergnate) mourut à Neuilly en 1923. Son fils et son petit-fils ont con­tinué d'accroître la gloire du Nom de BARRES, et le second, appliquant les principes de courage prônés par son grand-père, a donné sa vie à la France, puisqu'il est mort en Algérie il y a quelques mois.  

R.C

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"UN HOMME LIBRE", "COLETTE BAUDOCHE", "LA COLLINE INSPIREE", etc... peuvent être obtenus chez l’Abbé PERRIER (Collection de l’Auteur)

INFORMATIONS

LA MOTION DE CENSURE

           Le Gouvernement POMPIDOU a été mis Jeudi en minorité, à la sui­te d'une motion de censure déposée par l'opposition au sujet de la ré­forme constitutionnelle, désirée par le Général-Président. Quelles sont les causes de cette motion de censure, comment a-t-elle été votée, quelles en sont les conséquences possibles ?

              Dans son dernier message à la Nation, le Général a déclaré : "Ce sont les attentats perpétrés contre ma personne qui m'obligent à assurer après moi une République solide". Il motivait ainsi, avec l'ac­cord de ses Ministres, sa décision de réformer la Constitution, en fai­sant élire le Président de la République, non plus au suffrage restreint des "Grands Electeurs", mais au suffrage universel ; décision qu'il désire faire sanctionner par un Référendum.

              Pour les légistes, la réforme est anticonstitutionnelle. La constitution de 1958 ne peut être modifiée, même opportunément. C'est donc sous couleur de défendre les statuts de l'Etat que l'opposition a déposé sa motion de censure, qui vise en fait toute la Politique Gaullis­te.

             Les objections soulevées étaient aisées : l'élection au suffrage universel a déjà conduit la France à la dictature, celle de Napoléon III par exemple ; ou bien : elle porte en germe la suppression des libertés  essentielles, voire de la République elle-même ; ou bien encore : elle conduira de la dissolution définitive du Parlement, à la réunion des pouvoirs exécutifs et législatifs.

           Ce à quoi répondit l'U.N.R. : l'élection au suffrage universel est à la base de toute démocratie ; elle est la condition expresse au maintien de l'œuvre entreprise depuis quatre ans ; enfin et surtout, elle est le seul préservatif contre le retour du système en usage sous la IVème : crise tous les quinze jours, instabilité gouvernementale, etc. et de réaffirmer leur absolue confiance dans le Chef de l'Etat, prévalant son autorité sur toute autre, puisque personne n'a la personnalité néces­saire pour une opposition sérieuse et soudée.

            Le Président Paul REYNAUD (Indépendant) a déclaré : "On dira pendant longtemps d'un homme politique, comment il a voté au 5 Octobre". Et en effet, ce fut une grande séance. Communistes, Radicaux-Socialistes, Socialistes, S.F.I.O., s'allièrent avec les Indépendants, contre l'U.N.R. Après force discours, couverts par les applaudissements, les sifflets et les interruptions, les voix se répartirent ainsi : 281 voix à l'opposition, alors que 240 suffisaient. Le Ministère POMPIDOU a donc dû se reti­rer, et la dissolution de la Chambre se range parmi les conséquences.

           Mais le Référendum reste fixé au 28 Octobre, les élections aux 18 et 25 Novembre. Verrons-nous si la décision du Président est ratifiée à une grande majorité, les électeurs donner de nombreux sièges aux U.N.R. ou si la majorité est moindre, les électeurs perdre confiance et faire gagner d'autres sièges à l'opposition ?

           Espérons du moins comme prochaine, la réconciliation de "Ceux qui nous gouvernent", et que triomphent le bon sens, la modération et la liberté, pour la plus grande gloire de la Nation. 

Y.D

LA VIE DE L'ECOLE

              INNOVATION

             A notre grande surprise, nous avons changé de livret scolaire. Dorénavant il y aura des appréciations de professeurs tous les trimestres, et des notes du mois pendant la semaine. Nul doute que nous prenons des résolutions, pour faire face aux récitations écrites surprises, et pour avoir une attitude en classe, qui méritera l'éloge de nos professeurs. Désormais il n'y a plus de place pour la somnolence et pour le travail forcé, toutes les fins de mois. Gageons que cette méthode décongestion­nera nos mauvaises habitudes de travail.

             ASPHYXIE

          Nous avons craint au début de l'année scolaire, une asphyxie partielle. En effet les locaux regorgeaient de monde, tant dans les classes, que dans les études. Et dans les classes surchargées, c'est à qui se trouverait trois sur le même banc, s'installerait au bureau du professeur, il nous a fallu que l'équipe de secours de l'Ecole nous vienne en aide, pour retrouver toute notre vitalité et notre bonne hu­meur. Les places sont chères et rares cette année, et pour les garder il convient de se montrer parmi les meilleurs et les plus appliqués d'entre les élèves.

             A QUAND LA CONFERENCE ?

           Nous espérons que la conférence de Saint-Vincent de Paul va retrouver son jour bienfaiteur. Nous invitons tous les élèves de Philo-math, à s'y associer, afin de poursuivre le but commencé par les anciens, et pour pouvoir mieux prendre conscience de ses responsabilités, de ses devoirs envers la Charité. Pensons avant tout, que ces petits vieux et petites vieilles, visités, pourraient être nos propres parents, sans ressource et sans affection...

Y.D

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CHRONIQUE DES SPECTACLES

        "Divorce à l'Italienne" était attendu depuis longtemps ; Nous avons pu voir de film la semaine dernière : il nous a généralement déçu : peut-être attendions-nous trop ; mais dire du "Divorce" qu'il est digne de devenir un classique, c'est exagéré (Notes des 5. 7, 8, 15, 11, 10)

            Nous avons revu "Ma Femme est une Sorcière", de René Clair ; déception là encore : n'aurions-nous pas le même goût que nos parents ? (10,8,11,11,9)

Cette semaine, vous pouvez voir au Mozart "Sergent X", le pre­mier grand film de Gary Cooper, ou, à l'ambiance "Madame Sans-Gêne" avec Sophia Loren, luxueuse superproduction.

        Si vous n'avez vu "Les Vacances de Monsieur Hulot", courrez-y. Ce Chef-d’œuvre est illustre à l'étranger, et tous les français doivent le connaître (10,15,17,13,15)

            Fernand Raynaud est très mauvais dans "C'est pas moi, c'est l'autre", film sans grand intérêt, satyre sans esprit des petites troupes de province.               R. de N

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             Dans une Salle située au-dessous de l'ambiance, vous pouvez re­cevoir gratuitement des cours d'Anglais par des étudiants anglo-américains.

            Confirmés : Vendredi 19 h 30

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NOUVELLE : LE CRIME DE LORD ARTHUR SAVILLE, D'OSCAR WILDE

                             Traduit et adapté par R. de M

                     La dernière soirée de Lady WINDERMERE, juste avant Pâques, fut une des plus réussies de la saison : on y comptait six ministres en exer­cice, tout un éventail de pairesses - minaudant avec les plus violents radicaux - et la princesse de CARLSHRUHE.  Mais le héros de la réception fut Mr PODGERS, le chiromantiste de Lady WINDERMERE. Il lut dans les mains les plus nobles, fit rougir de timides jeunes filles, et troubler de vieilles demoiselles. Une seule fois, Mr PODGERS hésita, lorsque vint le tour de Lord Arthur SAVILLE : il rougit, pâlit et déclara la main im­possible à lire. Mais plus tard, pressé par Lord Arthur, en privé, il avoua : il pouvait se tromper, il avait lu... un crime.

                  Lord Arthur était un gentilhomme consciencieux. Fiancé depuis quinze jours à Sybil MERTON, il se dit qu'il ne pouvait l’épouser avant d'avoir accompli sa destinée ; puisqu’il devait être un assassin, que le crime ait lieu le plus tôt possible...

                  Lady Clémentine, Lady Clem pour les intimes, avait 87 ans, et de plus, était valétudinaire : c'était le sujet rêvé. Le lendemain de la réception chez Lady WINDERMERE, Lord Arthur acheta une petite dose d'a­conitine et la donna à sa vieille parente, la présentant comme un remède. Puis il partit en voyage, et apprit quinze jours plus tard la mort de Lady Clem. Lord Arthur avait déjà fixé la date de son mariage, lorsque, s'étant rendu chez la vieille dame défunte pour une question d'héritage, il y retrouva intacte la dose d'aconitine. Lady Clem avait eu une mort naturelle, tout était à recommencer !

                 Le jeune homme ne se découragea pas. L'évêque de Chichester, son oncle, avait la passion des horloges anciennes : il lui en offrit une splendide, qui dissimulait une bombe à explosion. La semaine suivante il reçut une longue lettre de remerciements pour ce cadeau original, qui faisait entendre de temps en temps de petites explosions en dégageant de la fumée ; La bombe n'avait pas marché !

                Cette fois, Lord Arthur en eut assez : sa fiancée s'étonnait des retards nouveaux de leur mariage, son beau-père se fâchait. Un soir, il se promenait le long de la Tamise, ruminant de sombres pensées. Il vit un petit homme replet, longeant-le-parapet…  Mr-PODGERS. Seul, Arthur s'avança, prit son élan, jeta le chiromantiste dans la rivière : les journaux du lendemain annoncèrent la mort du fameux devin, par suicide.

Le mariage de Lord SAVILLE et de Lady Sybil MERTON eut lieu peu après. Ils sont très heureux. Seulement le jeune marié se met en colère dès qu'on lui parle de chiromantites.   

D'après Oscar WILDE

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SPORTS

FOOTBALL

              Surprise pour les supporters de l'équipe de France de Football, mais aussi pour les fans de l'équipe d'Angleterre. Surprise heureuse, car la France malgré les pronostics contraires, a réussi à tenir en échec l'équipe de "la rose" sur le terrain de celle-ci à Sheffield. Après avoir mené par un but à. zéro, marqué à la huitième minute par Goujon, les tri­colores furent rejoints à la 57ème minute, sur un penalty douteux. L'équipe de France toute entière est à féliciter après-cette victoire mo­rale ; car elle vient en partie effacer les désillusions de la saison der­nière, et mettre du dopping dans le cœur des Français. Certains méritent une mention spéciale : Kopa pour ses dribles qui laissèrent souvent sur place la défense adverse, Bonnel pour son travail forcené, et Wenbling pour son sens du jeu irréprochable.

Dimanche 5 Octobre

RUGBY

                 Début du championnat de France de Rugby. Béziers, Agen et Lour­des sont vainqueurs. Mais les bleus de la division nationale ont "les dents longues " ; n'est-ce pas Valence et Cie ?

CYCLISME

                          De ROO remporte PARIS-TOURS

AUTOMOBILE

                          Henri OREILLER, l'ancien champion olympique de ski, a été victime accident mortel sur la piste de Montléry, lors de la coupe du Salon.

                      Le journal de MASSILLON adresse à sa famille, sa plus vive admiration pour le grand champion qu'il fut.

BASKET

                   L’Etoile de Charleville a battu Bagnolet sur son terrain ; cela constitua la grande surprise de la journée. Jean-Paul Beugnot marqua à lui seul 42 points.

                     L'A.S.M. est battu à St-Etienne. Le P.V.C. et l'E de Charleville, leaders de leur poule respective.

ATHLETISME

                 Dans la journée du Souvenir, après avoir été dans les temps du record du monde, 2'55" aux 1200 mètres, Jazy faiblissant dans les 300 derniers mètres, ne put faire mieux que d'améliorer son record de France du 1500 mètres : 3'37" 3/10 contre 3'88" 4/10

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ECHO DE MASSILLON

                    Grace au dévouement inlassable de Mrs LEFEVRE et GERZAGUY, les sports sont en pleine ascension à MASSILLON.

                 Les premiers matchs, vont avoir lieu, et nous espérons que cette année, les multiples équipes conduites par de jeunes et bons espoirs, vont nous ramener de nombreuses victoires.

                    Les entrainements reprennent assidument, et nous y assisterons le plus fréquemment, pour pouvoir obtenir le meilleur rendement.

                    Verrons-nous cette année, une équipe accéder à la finale des championnats d'Auvergne ? Et pourquoi ne viserons-nous pas ceux de France ?

                    La rédaction des "Nouvelles Taches d'Encre" s'associe de tout cœur à ces projets.

G.D Y.D